28 février 2011
28/02/2011
Sur un banc
Par Un jour un photographe à 10:27
23/02/2011
Postée pour le groupe Un Jour Un Photographe 2011 (photo du 23 février).
Par Un jour un photographe à 23:59
21/02/2011
21 Fevrier 2011 -
Mon jouet ces quelques derniers jours
My toy this past few days
Par Un jour un photographe à 19:05
20/02/2011
20 février 2011 — De retour à Bruxelles après une semaine très riche à Paris, Bordeaux et Lyon.
Par Un jour un photographe à 20:06
19/02/2011
Les belles lignes de la Panhard Levassor, aperçue lors d'une exposition de voitures anciennes.
La branche civile de Panhard fut absorbée en 1965 par Citroën et la construction de voitures particulières de la marque Panhard fut arrêtée.
Par Un jour un photographe à 12:50
16/02/2011
16 février
Puisque plus rien n'a d'importance
À longue ou brève déchéance
Parce que j'ai dû perdre le sens
De toute forme d'insouciance
Parce que plus rien n'a d'évidence
Que tout est tombé sous le sens
J'ai délégué les espérances au cinéma des apparences
Dire que j'étais cet ingénu
Pauvre crétin tombé des nues
Mon corps rongé par l'impatience
Déjà foutu pour la science
Dire que j'étais cet ingénu
Face au paradoxe perdu
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Chez les marchands de références des corps dénudés de conscience
Des corps qui dansent d'impatience
Et se disloquent et se distancent
Pour différer l'indifférence de nos corps nus sans consistance
Qui se mélangent en substance jusqu'à l'extase, jusqu'à l'absence
Dire que j'étais cet ingénu
Pauvre crétin tombé des nues
Mon corps rongé par l'impatience
Déjà foutu pour la science
Dire que j'étais cet ingénu
Face au paradoxe perdu
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
J'habite encore dans l'existence, tiens dans ses propres dépendances
Un corps qui cherche une contenance et qui survit par impatience
Puisque plus rien n'a d'importance
À longue ou brève déchéance
Parce que j'ai dû perdre le sens
De toute forme d'insouciance
Dire que j'étais cet ingénu
Pauvre crétin tombé des nues
Mon corps rongé par l'impatience
Déjà foutu pour la science
Dire que j'étais cet ingénu
Face au paradoxe perdu
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Incidemment je rêve encore à la circulation des corps
Kebous - Les corps impatients
Par Un jour un photographe à 10:39
14/02/2011
14 février 2011
Début février et déjà les premiers perces-neige annoncent la fin du mauvais temps. Ces bulbeuses illuminent ma matinée. De la famille des Amaryllidaceaé, la ou le Galanthus nivalis plus connu(e) sous l'appellation de perce-neige est féminin selon le Larousse, le Littré ou l'Académie mais masculin selon le Furetière ce qui fait que l'on use indiférement des deux.
Elle doit son nom à sa forme fuselée qui lui permet de s'imicer au travers d'une fine couche de neige et de fleurire ainsi dés les premiers jours du mois de février.
P.S. : Ne pas confondre avec la Nivéole de printemps qui fleurie plus tard.
Par Un jour un photographe à 23:56
« billets précédents - page 1 de 2